Commevous avez choisi notre site Web pour trouver la réponse à cette étape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Sa chenille est le vers Unfoulard de qualité soie naturelle ou sauvage et tissé à partir d’une fibre naturelle est issue du cocon produit par la chenille du bombyx du mûrier. On le trouvait, à l’origine, dans les pays où poussait le mûrier blanc, soit en Chine, en Inde ou en Perse. La technique de sériciculture permettant de produire la soie date de 2500 avant J.-C, et vient de Chine. Lasoie est une fibre naturelle issue du ver à soie, aussi appelé chenille du bombyx du mûrier. C’est une matière très noble et reconnue dans le monde entier pour sa douceur, son élégance et son confort, notamment dans l’habillement.Toutefois, la soie est la matière obtenue du ver à soie. Lasériciculture est l'élevage du ver à soie qui est lui même la chenille d'un papillon, le Bombyx mori. Les œufs du ver à soie s'appellent communément "la graine". Au cours de sa vie qui dure environ 30 jours, le ver à soie changera 4 fois de peau Lasoie est une fibre d’origine animale. C'est une matière dite noble parce que entièrement naturelle. La soie "de culture" est produite par la chenille du Bombyx du mûrier (la soie sauvage quant à elle provient du ver à soie Tussah). Le fil de soie est la bave qui sert à la chenille (ver à soie) à fabriquer sa chrysalide, c'est-à-dire le cocon dans lequel elle s'abrite pour se SaChenille Est Le Vers À Soie. La solution à ce puzzle est constituéè de 6 lettres et commence par la lettre B. Les solutions pour SA CHENILLE EST LE VERS À SOIE de mots fléchés et mots Lever à soie est la chenille d’un papillon de l’ordre des lépidoptères, le Bombyx du mûrier. Sa vie commence quand un papillon adulte a pondu de 300 à 500 œufs, mais ceux-ci ne peuvent éclore que si la température est appropriée. Au Japon, les éleveurs de vers à soie gardent les œufs en chambre froide jusqu’au mois de mai. Alors commence l’incubation. À trois ou quatre Lasoie est une matière très particulière qui est faite de fibre animale, ou plus précisément du fil que confectionnent les vers à soie qui servent à constituer leur cocon. La sériciculture est donc l’élevage de ces vers que l’on connaît aussi sous le nom de bombyx que l’on trouve dans les mûriers. Lever à soie a connu son temps de gloire dans les Cévennes . Le bombyx du mûrier (Bombyx mori) est un lépidoptère domestique originaire du nord de la Chine, élevé pour produire la soie. Le ver à soie est sa chenille. Le bombyx est inconnu à l'état sauvage, il résulte de la sélection par élevage appelé sériciculture. C'est au OùTrouve-t-on les vers à soie ? Description du Bombyx mori Ce papillon n'existe plus à l'état sauvage, y compris en Chine d'où il est originaire. Le « ver à soie » est une chenille et présente ka9l3G1. Le bombyx du mûrier Bombyx mori est un papillon domestique originaire du nord de la Chine, élevé pour produire de la soie. Le ver à soie est sa chenille. Le bombyx est inconnu à l'état sauvage, il est le résultat d'une sélection en élevage appelé sériciculture. Il est tellement habitué à l’élevage, qu’il ne pourrait plus vivre en liberté, il ne saurait plus aller tout seul d’une feuille à l’autre. Sa durée de vie est d'environ 2 semaines. Le papillon Bombyx mori est tellement gros et lourd qu'il est incapable de voler. Il se déplace en rampant. Les femelles sont deux fois plus grosses que les mâles, car elles portent déjà en elles les œufs prêts à être pondus, mais pas encore fécondés. Après l'accouplement quand le couple s'est séparé, la femelle peut pondre jusqu'à 500 œufs. La femelle meurt 2 ou 3 jours après la ponte. Au moment de la ponte, les œufs sont de couleur jaune clair. Si les œufs ne sont pas fécondés ils vont rester jaunes. Les œufs fécondés vont changer de couleur dans les jours qui suivent, puis ils deviendront gris. Après une incubation d'une semaine environ en Thaïlande, le ver à soie sort de l'œuf. Il est long de deux millimètres environ. Dans les 30 jours qui suivent, il subit quatre mues, puis tisse son cocon. A la fin de son cycle il aura grossi de près de 10 000 fois son poids initial, mesurera près de 10 cm et mangera une feuille de mûrier par jour. Les chenilles se nourrissent exclusivement de feuilles de mûrier blanc ou du mûrier noir. C'est au stade de chenille que le bombyx produit la précieuse fibre sécrétée en une bave abondante qui, en durcissant, se transforme en un fil unique de soie brute avec lequel la chenille se fabrique un cocon. Le fil de soie est enrobé d'une colle naturelle grès qui maintient les fils ensemble. Ces fils, très fins et brillants, ont un diamètre d'environ 10 micromètres 0,001 mm. Quant au cocon, il peut être blanc ou jaune. En Thaïlande le cocon blanc est dit chinois… …Et le cocon jaune, thaïlandais selon l'éleveur. Peut-être parce que le drapeau du roi de Thaïlande est jaune, suivant la tradition bouddhiste. En effet, dans la religion bouddhiste, à chaque jour correspond une couleur jaune le lundi, rose le mardi, vert le mercredi, orange le jeudi, bleu le vendredi, mauve le samedi et rouge le dimanche. Le roi actuel de la Thaïlande étant né un lundi, son drapeau est jaune et flotte sur tous les édifices publics à côté du drapeau thaïlandais. Il y aurait donc en Thaïlande des vers à soie plutôt royalistes ! La chenille travaille ainsi pendant trois ou cinq jours, et va produire un fil dont la longueur varie de 300m à 1500 mètres de long. Il faudra quand même compter près de 600 cocons pour le tissage d'un foulard en soie ! Quand la chenille s'est complètement vidée de la soie, sa peau se durcit, devient brune et sa forme change la chenille va se transformer en chrysalide. C'est la métamorphose. Sous sa nouvelle carapace, la chenille deviendra papillon. Cette transformation dure environ deux semaines. Pour récupérer la soie, on trempe le cocon dans de l'eau chaude, cela fait dissoudre la colle grès qui maintient les fils ensemble. La dévideuse réunit plusieurs fils, de quatre à dix selon la grosseur du fil désiré, et les dévide en même temps. Le fil ainsi constitué est recueilli sur le dévidoir. L'industrie de la soie a pris naissance en Chine vers 2200 avant En Chine, on attribue la découverte du ver à soie à l’impératrice Xi Ling-Shi, épouse du célèbre empereur Haong-Ti, souverain de la haute antiquité qui aurait régné de 2697 à 2598 avant JC, et considéré comme le père de la civilisation chinoise. Jeunes Chinoises à Bangkok. Sans doute des descendantes de l'impératrice Xi Ling-Si ! L'impératrice buvait du thé sous un mûrier lorsqu'un cocon tomba dans sa tasse. En voulant le récupérer, un fil de soie se détacha du cocon et se colla à son doigt. Plus elle tirait, plus le fil s'allongeait. L'enroulant alors autour de son doigt pour pouvoir tirer encore, elle ressentit une chaleur agréable. L'impératrice en parla autour d'elle, et cette découverte se propagea. La sériciculture était née. Les Romains aimaient beaucoup la soie, mais ils pensaient que les Chinois recueillaient le fil sur les arbres. C'est à Justinien, empereur romain ou plutôt byzantin, 483/565 après JC., que l'on doit l'importation de la chenille du bombyx. Elle fut ramenée d'Inde par deux moines qui avaient caché les œufs dans leur bâton de pèlerin. C'est avec Colbert, au XVIIème siècle, que Lyon devint la ville de la création de la soie. En 1660, il y avait à Lyon plus de 3 000 maitres ouvriers qui faisaient travailler 10 000 métiers. Le développement des magnaneries élevages des vers à soie dans le Midi de la France assurait la production de matière première nécessaire à la Fabrique de Lyon. Le succès fut au rendez-vous de Louis XIV à la Restauration sans discontinuer. Au début du XIXème siècle, l'invention de Jacquard celui qui inventa le métier à tisser en 1801 permit à la fabrique lyonnaise de trouver une nouvelle impulsion. Voir la légende vietnamienne du vers à soie Brodeuse au Vietnam Hoi An

sa chenille est le vers a soie